Ollioules<\/h3>
Comme les a peintes Hubert Robert au XVIIIe\u00a0si\u00e8cle (voir mus\u00e9e des beaux-arts de Nice) et les a d\u00e9crites avec enthousiasme Victor Hugo, les gorges sont arides, sinueuses, d\u00e9chir\u00e9es\u00a0; la Reppe y a creus\u00e9 une profonde faille avant de se jeter dans la baie de Sanary-sur-Mer.<\/p>
Les lignes de bus du r\u00e9seau Mistral de la communaut\u00e9 d'agglom\u00e9ration Toulon Provence M\u00e9diterran\u00e9e assurent la liaison avec les communes voisines gr\u00e2ce aux lignes U, 1, 11B, 12, 120 et 122 et notamment au p\u00f4le d'\u00e9changes de Portes d'Ollioules et de Toulon.<\/p>
Le territoire d'Ollioules est fr\u00e9quent\u00e9 par l'homme depuis la Pr\u00e9histoire, en particulier durant la p\u00e9riode n\u00e9olithique. Plus tard, ce terroir est occup\u00e9 par la tribu celto-ligure des Camatulici, qui appartiennent \u00e0 la conf\u00e9d\u00e9ration des Salyens (Salluvii). Ils construisent sur la colline de la Courtine un vaste oppidum, dont subsistent d'importants vestiges partiellement fouill\u00e9s, et entretiennent des relations commerciales avec le comptoir grec de Tauroeis (le Brusc, commune de Six-Fours-les-Plages). Il n'y a pas de ville gallo-romaine, mais des fermes et villas dispers\u00e9es sur le terroir agricole.<\/p><\/div>\n